En France, le décès doit être déclaré à la mairie du lieu où il est survenu, dans les 24 heures qui suivent le constat réalisé par le médecin. Il faut demander à la mairie plusieurs exemplaires (originaux) de l’acte de décès qui sera nécessaire aux nombreuses démarches à faire auprès des administrations, des banques pour maintenir certains droits ou mettre un terme à certains autres (bail pour le logement, banque, transmission de patrimoine, pension, etc.).

En France, le cercueil est obligatoire. Pour se renseigner sur les réglementations : www droit-finances.commentcamarche.com

Les pratiques liées à l’inhumation sont différentes d’une culture à l’autre. Par exemple, dans la religion musulmane, le défunt est enterré à même le sol, le corps recouvert d’un drap, dans les 24 heures suivant le décès, avant le coucher du soleil si le décès a eu lieu le matin, le lendemain matin s’il est survenu le soir.

C’est l’un des deux modes de funérailles autorisés par la loi, avec la crémation. L’inhumation a lieu 24 heures au moins et six jours au plus après le décès, une fois autorisée la fermeture du cercueil par l’officier d’état civil, sur présentation du certificat établi par le médecin ayant constaté le décès et vérifié que celui-ci ne posait pas de problème médico-légal. 

En France, il faut faire constater le décès par un médecin qui établit le certificat de décès. En cas de décès dans un établissement de santé (hôpital ou maison médicalisée), c’est le personnel qui s’en charge. Dans les semaines qui suivent, il faut informer les différents organismes concernés par le décès, avant d’engager le règlement de la succession (héritage).

En général, on utilise « funérailles » pour désigner une cérémonie d’enterrement solennelle et pompeuse à caractère public : funérailles nationales, militaires. Pour désigner une cérémonie privée, civile ou religieuse en l’honneur d’une personne décédée, on utilise de préférence le terme générique « obsèques ».